Jean- Marc Ayrault, Premier ministre a répondu au référé de la Cour des Comptes sur le projet Lyon –Turin. ET c’est derrière le premier ministre que se sont alignés ce mercredi, plusieurs parlementaires signataires d’un appel en faveur de la liaison.
Le Premier ministre donne la position du gouvernement face à plusieurs plusieurs affirmations de la Cour.
Le coût des travaux des descenderies trois fois supérieur au coûr prévu?
Le chef du Gouvernement rappelle que les surcoûts ont été causés pa des imprévus géologiques, mais les les informations permettront de mieux prparer le chantier du tunnel de base.
Les surcouts liées au changement de tracé?
Le changement de tracé en Italie imopse le creusement d’un nouveau tunnel, celui de l’Orsiéra en Italie. Les travaux seront supportées par l’Italie seule, étant donné qu’ils sont situés en dehors de la section internationale qui englobe des financements communs ou européens.
Surcoût pour la partie centrale?
Le surcout devrait être de 450 millions d’euros et non de 1 903 millions d’euros pour la partie centrale.
D’accord pour une évaluation indépendante
Le Premier ministre d’accord avec une évaluation indépendante des coût, recommandée par le mémorandum franco italiens de 2033.
Des prévisons de trafic qui ont leur limites
Sur les prévisions de trafic, le premier ministre reconnait que ces « précisions ont leurs limites, mais il convient de souligner qu’elles ont toujours été effectuées dans les règles de l’art ».
Report modal
Le premier ministre insiste pour dire que le lancement du projet justifie la mise en place par la France de politique de report modale forte. Il rappelle que le tunnel suisse du Loetschberg est utilisé à 100% de sa capacité quatre ans après sa mise en service.