Les biocarburants de première génération ont montré leurs limites non pas techniques, mais globales. Ces carburants issus de la partie de végétaux consommables dans le cadre de alimentation, ont bénéficié d’un grand engouement aux Brésil, mais aussi en Europe, quand les perspectives de ressources fossiles finies, ont fait miroiter l’espoir de carburant.
L’étoile des biocarburants s’est ternie. Betterave ou canne à sucre pour produire de l’éthanol ou colza tournesol pour produit diester, ont montré leur limite. Le bilan environnemental, agricole et financier a été critique aussi les espoirs se portent sur les biocarburants de deuxième et de troisième génération, qui ne sont pas produit à partir de la partie alimentaires de végétaux.
Les biocarburants deuxième génération pourraient être produits à partir des fibres. Les travaux pour le biocarburant en sont au stade de pilotes industriels et le rendez vous doit être pris pur la fin de la décennie pour le stade industriel. Ces biocarburants dépendra de l’évolution des autres énergies et du prix des matières premières dont ils sont tirés biocarburants deuxième génération pourraient être produite à partir des fibres. Les travaux les biocarburants en sont au stade de pilotes industriels et le rendez vous doit être pris pur la fin de la décennie pour le stade industriel. Ces biocarburants dépendront de l’évolution des autres énergies et du prix des matières premières dont ils sont tirés.
Quant aux carburants de troisième génération, les perspectives sont plus éloignées s’agissant de carburants produits à partir de micro algues dans ces cultures hors sol qui ne seraient pas du tout concurrentes des productions alimentaires. Le potentiel énergétique de ces micro algues et les rotations seraient est tel que des surfaces limitées serai aient nécessaires.
