Thiers et sa montagne ne sont pas les seuls centres couteliers de France, mais à chaque époque où l’on fait mention de Thiers, de Langres, de Nogent, de Châtellerault ou de Paris la cité du Puy de Dôme produit plus, emploie plus d’ouvriers, travaille plus vite, diffuse plus loin… et produit moins cher, explique la notice de présentation de cet ouvrage des Editions Lieux Dits, spécialisées dans la publication de livre à partir des travaux de l’Inventaire.
L’ouvrage de Marie-Blanche Potte, avec des photographies de Jean-Michel Périn, des cartes et relevés de Guyslaine Beauparland-Dupuy et d’Anne Fressanges du Bost, n’évoque pas le patrimoine naturel. Il s’intéresse aux métiers, au patrimoine bâti ( forges), aux techniques,
Mais la montagne est présente en filigrane car c’est dans la montagne que la coutellerie trouvait son énergie, le bois pour les forges ou les torrents pour l’aiguisage.
Service de l’Inventaire du patrimoine, région AuvergneTextes : collection Parcours du patrimoine, 7 euros TTC lieux.dits@free.fr / www.lieuxdits.fr