Jean-Luc Fugit (député du Rhône) a été élu vice-président de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst) dont Cédric Villani (député de l’Essonne), a été élu président.
Jean-Luc Fugit, élu vice-président de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst) s’estime « plus que jamais engagé pour renforcer l’interface entre les évolutions technologiques, l’innovation et l’action politique ». Il était en effet déjà engagé dans les actions de l’Office plus particulièrement dans les travaux autour des sujets spatiaux (des lanceurs… aux nombreuses applications satellitaires), de rénovation thermique des bâtiments, de production d’énergie dans le monde agricole, mais aussi sur les interactions Covid/pollution de l’air.
L’Opecst, rappelle le député du Rhône, a été créé par la loi en 1983. Cet organe a pour mission « d’informer le Parlement des conséquences des choix de caractère scientifique et technologique afin, notamment, d’éclairer ses décisions ». À cet effet, il mène, à la demande des instances du Parlement ou en application d’une loi, en toute indépendance, des études pluridisciplinaires sur les enjeux législatifs, à moyen et long terme, des questions soulevées par les évolutions de la recherche et de la technologie.
Composé de dix-huit députés et dix-huit sénateurs désignés par les groupes politiques, l’Opecst s’appuie, pour ses études, sur des auditions de chercheurs, d’experts et d’acteurs concernés, en France et à l’étranger, et émet des recommandations. Il est assisté d’un conseil scientifique de vingt-quatre personnalités de haut niveau désignées en raison de leur compétence, qui reflète dans sa composition la diversité des disciplines scientifiques et technologiques.