Thierry Pagé, Président Directeur Général d’Odotech et Philippe Micone, Directeur d’Odotech France, présenteront sur Pollutec ( Paris Villepinte, du 27 au 30 novembre) le système de nez électroniques Odowatch pour la gestion intégrée des pollutions olfactives industrielles et la gamme ODOTECH de solutions olfactométriques appliquées à l’industrie (agro-alimentaire, cosmétique…). Odotech est une entreprise d’origine canadienne implantée depuis le débu de 2007 en région lyonnaise.
L’entreprise a été fondée en 1998 par le Dr Christophe Guy et Thierry Pagé, C’est une spin-off de l’École Polytechnique de Montréal devenue membre du Groupe Polyvalor en 1999. ODOTECH développe et applique les technologies et l’expertise provenant de l’École Polytechnique de Montréal dans le domaine des odeurs et de la pollution atmosphérique. L’entreprise a d’abord mis au point, selon les informations publiées sur son site, l’olfactomètre ODILEMC. Odotech a progressivement renforcé son équipe et sa capacité à offrir des services dans le domaine des odeurs au Québec. Utilisant l’olfactomètre ODILEMC et la chambre de flux ODOFLUXMC qu’elle avait développée, Odotech est devenu le premier fournisseur d’études d’impact odeur, d’analyses du risque et de connaissances spécialisées de contrôle des odeurs aux industries et municipalités du Québec. Tanneries, entreprise d’équarrissage, usines de traitement de l’eau, entreprises agro-alimentaires, producteurs de compost, exploitants de lieux d’enfouissement sanitaire, usines d’engrais, éleveurs de bovins et porcins, ateliers de traitement du bois et les fabricants de produits chimiques figurent parmi les clients de la société.
L’essor de la réputation de la société a accompagné son expansion internationale et les universités de plusieurs pays utiliser les olfactomètres ODOTECH pour la recherche de pointe. En 2001, ODOTECH avait achevé son logiciel TROPOS IMPACT© de modélisation de la dispersion atmosphérique des odeurs et l’entreprise était sollicitée pour aider à formuler des règlements et normes d’odeurs gouvernementales.
En effet, rappelle un communiqué de l’entreprise, 70% des plaintes pour pollution atmosphérique concernent les nuisances olfactives. Le public se plaint des mauvaises odeurs, même si celles-ci ne posent pas de problèmes de santé, alors que des pollutions inodores peuvent être plus délétères.