Les dossiers devraient être étudiés par le jury en mars, et les résultats proclamés au début du mois d’avril. Le concours a été lancé au mois d’octobre et cinq cabinets d’architecte sont en lice. Le projet représente une enveloppe de 73 millions d’euros.
Le Pôle de Toxicologie et d’Ecotoxicologie de Rovaltain, géré actuellement par une association de préfiguration, présidée par Edouard Couty devrait être géré à terme par une fondation et une SAS (Société par Actions Simplifiée).
Par ailleurs sur le plan scientifique, la direction est assurée par le Pr Bruno Combourieu, détaché de l’Université Claude Bernard Lyon 1, qui a succédé à Alain Pavé (professeur à Lyon 1) auteur du rapport scientifique.
Enfin, le dossier déposé par le Pôle dans le cadre de l’appel à projet Equipex dont les résultats viennent d’être rendus publics, n’a pas été retenu. Le projet ne reposait sur aucun travail réalisé sur le Pôle lui-même, et ce résultat n’est pas entièrement surprenant. Mais le Pôle va déposer un dossier dans le cadre de l’appel à projet pour des Plates Formes Mutualisées d’Innovation ( PFMI) , géré par la Caisse des Dépôts et Consignation.
Au Teil, en Ardèche, les trains arrivent, mais sans voyageurs
La réouverture aux voyageurs de la ligne ferroviaire de la rive droite du Rhône Lyon-Nîmes, est attendue depuis plusieurs décennies. Faute de coopération entre régions, avec le saucissonnage des responsabilités, l'absence d'approche globale la réouverture traine. Une conférence mettant autour...