Le Sénateur ( UMP) de la Savoie Jean-PIerre VIAL insiste sur le fait que le dossier de la Transalpine ne doit pas faire l’objet d’un amalgame. Il faut déconnecter le « tunnel de base » pour lequel les chefs d’Etats doivent s’engager, des accès français, pour lesquels le débat pourrait être en partie réouvert.
Le trafic marchandises pourrait baisser cette année de plus de 70 000 camions dans les deux sens, aux tunnels du Mont Blanc et du Fréjus. Pour les opposants cette évolution continue depuis plusieurs années doit faire rennoncer dans l’immédiat au projet actuel de liaison Lyon-Turin.
Le Comité pour la Transalpine tiendra un conseil d’administration le jeudi 13 septembre à Lyon
Des députés français et italiens au Parlement Européen agissent pour que la Transalpine soit inscrite dans les projets européens à financer dans les prochaines années. La préparation du marché de la future liaison doit commencer par un soutien au report des camions de la route vers le rail.
Le percement du premier tube du tunnel de base entre la France et l’Italie doit débuter en 2013 pour bénéficier des subventions européennes.
La mondialisation désorganisée a montré ses limites, au point de provoquer un rejet nourri en partie d’incompréhension. Ce rejet donne naissance à un repli local parfois positif, parfois simplement nostalgique ou utopique.
Le Conseil économique, social et environnemental régional de Rhône-Alpes se réunira en Assemblée plénière le mardi 21 févrierau siège de la Région Rhône-Alpes (1) . Le CESER émettra un avis sur le projet se Schéma régional Climat Air Energie dans lequel il redira son soutien en faveur d’un bouquet énergétique incluant un » nucléaire sécurisé ». La séance est publique
Les travaux du tunnel de base international de la Transalpine ferroviaire pourront commencer en 2013. La Commission franco-italienne a adopté les modification au traité franco-italien et définit le Promoteur Public qui réalisera et et gèrera le tunnel de base. Le siège de la société sera à Chambéry.
Le projet de liaison ferroviaire franco-italien conforté après le changement de gouvernement, ne devrait pas souffrir de la crise financière.
Alors que l’Europe change ses financements et doit affronter la crise, Bernard Soulage, insiste pour maintenir la mobilisation en faveur projet Lyon-Turin.
