Le projet Equip@MESO vise à mettre en place des ordinateurs puissants capables d’être mis en réseau sur l’ensemble du territoire pour accroitre la capacité de simulation numérique. Cette simulation permettra de résoudre de nombreux de défis scientifiques, en biologie (génome et organismes complexes), pour la conception de nouveaux systèmes de production d’énergie, et dans les nanosciences et nanotechnologies.
La simulation numérique peut notamment permettre d’améliorer la prévision de situations d’urgence (feux de forêts, tsunami, répliques de tremblement de Terre, phénomènes météo) ou, dans le domaine de la santé, de concevoir de nouveaux médicaments, nouvelles prothèses…
Avec Equip@MESO la France sera le premier pays au monde à avoir une telle pyramide de calcul ce qui lui donnera un avantage compétitif significatif. Le projet revêt un intérêt pour la formation. La coordination nécessaire sur le territoire permettre aux étudiants de pouvoir valoriser leurs formations et ainsi les sensibiliser à l’importance de la simulation numérique. Le projet aura aussi des retombées sur le plan économique. La simulation va se traduire par un avantage concurrentiel important pour les entreprises en permettant la réduction des coûts de recherche et développement par le remplacement du prototypage matériel par du prototypage virtuel. Les marchés concernent l’aéronautique, l’automobile, la santé, l’énergie, le climat et l’édition de logiciels.
Le projet est porté par GENCI / Université de Strasbourg, universités Joseph Fourier de Grenoble, Claude Bernard de Lyon, Pierre et Marie Curie, universités de Toulouse, de Provence, de Reims – Champagne – Ardenne (URCA), PRES Paris-Sciences et Lettres. Le CEA et Centre de ressources informatiques de Haute-Normandie (CRIHN) font aussi partie du projet.
Le projet sera un équipement accessible à tous les chercheurs du territoire, implanté sur plusieurs sites, en Ile-de-France, Alsace, Midi-Pyrénées, Champagne-Ardenne, Rhône-Alpes, PACA, Haute-Normandie Paris, Strasbourg, Toulouse, Reims, Grenoble, Lyon, Marseille, Rouen
Consigne sur les bouteilles plastiques : c’est non pour le Grand Lyon
Thierry Philip, Vice-président du Grand Lyon conteste le bien-fondé d’une mesure qui remet en cause l’équilibre économique de la gestion des déchets de la Métropole. Pour Thierry Philip, vice-président du Grand Lyon, la consigne remettrait totalement en cause l’équilibre économique...