A la suite de la publication de deux articles sur le projet de remplacement d’un tronçon du téléphérique de la Grave, et non sa création, David Le Guen, Directeur Commercial & Communication de la Société SATA et de la Société exploitant le téléphérique de la Grave, estime en raison des imprécisions de ces articles, apporter les premières informations suivantes.
De 1976 à 1986 les téléphériques ont été exploités par le Syndicat intercommunal à Vocations Multiples du Briançonnais période qui s’est achevée par la faillite de l’exploitation . » C’est suite à cette faillite que le créateur a repris l’exploitation en 1987, en y ajoutant le téléski de 3200 à 3600m, sur le glacier de la Girose – aujourd’hui objet du projet de remplacement – pour y trouver un modèle économique viable.
Pour les impacts du projet, Daniel Le Guen, précise: » l’étude d’impact est en cours d’instruction depuis le 21 juillet par l’Autorité environnementale suite à la demande de pré-cadrage que nous avons effectué cette année. Il semblerait que vous manquiez d’informations essentielles à la compréhension du projet et même de son instruction, puisque l’étude d’impact qui sera publique au moment de l’enquête publique, c’est-à-dire après le retour des services instructeurs est justement en cours d’instruction. L’autorité environnementale Nationale, rendra son avis sur la bonne information du publique et la prise en compte des enjeux environnementaux dans son avis qui sera rendu avant le 9 Octobre (sauf avis tacite qui vaudra quitus de la bonne information et prise en compte des enjeux environnementaux)… … Enfin, l’avis rendu par le directeur du parc National en 2021, sur avis du conseil scientifique est bien plus nuancé et fin qu’un simple avis négatif.«
