Face à l’effondrement de l’agriculture qui se profile, en silence, exceptée la protestation des agriculteurs, l’association nationale Terre de Liens, basée à Crest dans la Drôme, lutte pour réunir des fonds destinés à facilite l’installation d’agriculteurs et d’agricultrices, issus ou nn du milieu agricole.
Alors que la crise agricole, structurelle, est très loin d’être terminée, faute de solutions durables, l’association Terre de Liens (https://terredeliens.org/ ) poursuit son combat pour le financement et le soutien à une agriculture durable. Une agriculture qui intègre des objectifs essentiels : satisfaire les besoins alimentaires de la France, améliorer les performances environnementales, améliorer les performances climatiques et résister au changement du climat mais aussi améliorer largement des conditions de travail, de vie, donc de rémunération que refuseraient la majorité des habitants du pays.
Terre de liens, c’est une fondation présidée par Philippe Pointereau. C’est une Fédération d’organisations régionales, présidée par Geneviève Bernard. C’est une société foncière dont le gérant est Luc Moineville. Pour ces trois responsables signataires d’un éditorial dans la dernière lettre de Terre de Liens, les mouvements professionnels depuis le début de 2024, n’ont pas permis d’apporter de solution. Et les solutions ne sont pas prêtes., du côté de l’Etat, du gouvernement , une absence encore plus grave depuis l’instabilité politique.
Pour Terre de Lien, une future Loi d’Orientation Agricole doit apporter des solutions radicalement nouvelles capables de répondre aux enjeux écologiques et sociaux. « Notre fil conducteur, repenser notre système alim taire et reconnecter agriculteurs et agricultrices er agricultrices et consommatrices pour nourrir localement plutôt de conquérir des marchés mondiaux, faire avec la nature et no contre elle ».
Terre de Liens qui a déjà installé près de 400 paysans, veut en soutenir 20 000 par an. Pour donner